À plusieurs reprises, Lionel Messi et Neymar ont notamment paru complètement perdu dans la discussion. Les attaques parisiennes risquent d’être beaucoup plus compliquées à contenir si c’est Hakimi qui se trouve à la réception des passes de Neymar qui aura fixé la moitié de la défense adverse à gauche ou dans l’axe. La plus surprenante concerne son niveau technique. On ne va pas aller jusqu’à dire qu’Hakimi n’est pas un joueur technique mais les stats témoignent d’une marge de progression possible dans ce domaine, en particulier concernant les centres. Car les pertes de balle vont être bien plus nombreuses côté droit qu’elles ne l’étaient jusqu’à présent. Au global, sa moyenne de ballons perdus sur les trois dernières saisons est de 16.2. Il est même monté jusqu’à 18.6 en 2019-2020. C’est plus que Mbappé la saison dernière (17.9). Or, si le PSG a l’habitude et est organisé pour pallier les pertes de balle de ses attaquants, les dommages et les mécanismes de compensation ne sont pas les mêmes quand il s’agit d’un défenseur, surtout dans une défense à quatre éléments.
Sa plus haute moyenne date de la saison dernière avec 0.9. Côté parisien, Florenzi faisait mieux avec 1.3. Certes, les comparaisons entre les deux joueurs sont faussées par les contextes différents, mais, compte tenu de sa réputation et du nombre de situations qu’il se crée, on aurait pu s’attendre à davantage de centres réussis. Sa meilleure saison en la matière est la dernière en date mais son taux (68 %) reste moins bon que celui de Dagba et Bakker (tout en étant supérieur à celui de Florenzi et Kurzawa). Au-delà du volume d’interventions, très fortement dépendant de l’organisation défensive de l’équipe, c’est le taux de réussite dans ses actes défensifs qu’il faudra surveiller. En volume d’interventions défensives, il présente des stats inférieures à tous les latéraux du PSG la saison dernière. Gros volume de jeu, super contre-attaquant, efficace devant le but adverse, Achraf Hakimi n’est pas loin du portrait-robot du parfait latéral moderne. 15/06/2022 – Kylian Mbappé and Achraf Hakimi: The Magic Duo! Paris Saint-Germain and Talon eSports work together for a team named PSG Talon, who participate in the Pacific championship in Taiwan, Hong Kong, Macao, Thailand, Singapore, Malaysia and the Philippines.
Depuis début 2019, Arsène, aka « AF5 » est le streamer Fifa officiel du Paris Saint-Germain eSports. Ancien directeur commercial du FC Barcelone, devenu Chief Business Officer de l’Inter Miami, Xavier Asensi s’est exprimé sur Lionel Messi, sous contrat avec le Paris Saint-Germain jusqu’à l’été prochain, alors que le club de David Beckham affronte les Blaugranas à l’occasion du premier match de sa tournée américaine. Pourtant, il apparaît clairement qu’il a fait des progrès dans ce secteur à l’Inter sous la houlette d’Antonio Conte. Ce sacrement, le plus auguste de tous, consiste dans l’admirable changement de toute la substance du pain au Corps de Jésus-Christ et de celle du vin en son Sang précieux, de telle manière qu’il contient réellement, vraiment et substantiellement le corps, le sang, l’âme et la divinité de Jésus-Christ sous les espèces – apparences – du pain et du vin pour être notre nourriture spirituelle. Les retrouvailles des amoureux sont d’autant plus attendues, maillot psg 2019 qu’ils convoleront bientôt en justes noces selon Le Parisien. On le voit dans le faible niveau de passes longues ou dans l’ultra sécurité des passes des latéraux qui privilégient neuf soit sur dix la passe la plus proche. Grâce à un but de Mbappé dans le temps additionnel, le PSG est difficilement venu bout de Rennes (1-0). Retrouvez les tops et les flops de cette rencontre.
Le Brésil, avec son équipe au complet, a largement dominé le Japon, qu’il a battu 1-0 en match amical… Il remporte la médaille d’or avec le Brésil, face à l’Allemagne. On a d’ailleurs hâte de voir à l’œuvre ce schéma de passes, entraperçu face à Séville avec Draxler dans le rôle du passeur. En effet, son taux de succès dans les tacles notamment interpelle un peu puisque sur les trois saisons écoulées, il affiche un % inférieur à la moyenne des latéraux parisiens. C’est d’autant plus surprenant que, compte tenu des taux de possession respectifs du PSG (60 %) et de l’Inter (52 %), l’arrière-garde parisienne est censée être moins sollicitée. Le joueur lui-même ne présente pas des taux de réussite très satisfaisants dans cet exercice. Mais le joueur formé au Real Madrid ne se contente pas de servir ses coéquipiers, il bosse aussi pour lui-même : il est l’auteur de 39 frappes au but la saison dernière en championnat. Cela ne paraît pas forcément énorme mais c’est le double des niveaux de la saison passée au PSG. C’est une tentation assez française, que l’on rencontre un peu aussi aux États-Unis, mais qui surprend beaucoup nos frères vietnamiens par exemple.